- Arboras : les 1er lundis du mois, d’avril à septembre, de 17 h à 20 h 30.
- Aumessas : les mardis soirs de juin à fin août à 17h30.
- Campestre : les vendredis soirs en juillet et août à 18h.
- Cornus : dès 18h en soirées, fin juillet et mi-août.
- Clermont l’Hérault : Mercredi matin
- Le Caylar : les mercredis soirs de juillet de d’aoüt sur la Place.
- La Cavalerie : Samedi matin.
- La Couvertoirade : Tous les jeudis de juillet et août, place de la Cité à partir de 17h30.
- Ganges : Vendredi matin
- Lanuéjols : mi-juillet et mi-août.
- Lodève : Samedi matin + Marché du Terroir mardi après-midi en saison.
- Meyrueis : Mercredi matin + vendredi en saison.
- Millau : Mercredi et vendredi matin + lundi soir en juillet et août + Marché Paysan couvert du mardi au samedi de 10h à 13h et de 15h à 19h (14, imp. M. Prévost).
- Montredon : Mercredi soir de mi-juillet à fin août, dès 18h
- Nant : Mardi matin, place du Claux.
- Pégairolles de l’Escalette : Vendredi matin de 8h30 à 12h, face et avec la cave des Vignerons de Pégairolles.
- Potensac : Vendredi de 18h à 22h30 en juillet et août.
- Saint Affrique : Samedi matin et les jeudis matins en juillet-août (Producteurs de Pays).
- Saint André de Sangonis : mardi matin.
- Saint Etienne de Gourgas : les vendredis soirs de l’été, de 18h à 20h30.
- Sainte Eulalie de Cernon : les jeudis en saison.
- Saint Guilhem le Désert : Vendredi matin.
- Saint Jean de Fos : Mardi matin.
- Saint Jean de la Blaquière : Mardi soir de 16h à 19h.
- Saint Jean du Bruel : Dimanche matin.
- La Vacquerie : Dimanche de 16h à 19h30 en juillet et août.
- Le Vigan : Samedi matin + mardi matin de mi-mai à mi-octobre + nocturne le mercredi de mi-juillet à fin août.
De quand datent les premiers marchés ?
Leur origine se perd dans la nuit des temps mais ils sont sûrement nés du passage d’une économie de subsistance à des formes d’économie moins autarciques, basées sur le partage du travail et l’échange les produits et les biens.
Marchands ambulants… à pied
Les échanges étant nécessaires, le commerce est évidemment lié à la facilité des transactions. Celles-ci se faisaient, autrefois, aux lieux de rassemblement des populations, qu’il s’agisse de bourgs ou de lieux de pèlerinages, de fêtes… Les commerçants n’étaient alors que des marchands ambulants, parcourant le pays, souvent à pied, pour proposer des tissus, du sel, des cuirs et peaux, des poteries et autres articles ménagers. Quand la civilisation devint moins rurale, les marchands proposèrent des céréales, des vins, des poissons et des viandes et commencèrent à s’installer dans les bourgs (source : foires et marchés de Michel Duval).